Mariage, enfants, famille et si le pire était devant ?
Projet ouvertement revendiqué : détruire la famille, séparer les enfants des parents (à mon grand regret je n’invente rien et vous laisse apprécier : suivez le lien)
Il est significatif de se réclamer d’un sentiment pour le ‘mariage’ de personnes de même sexe, ainsi que pour l’adoption par les mêmes personnes, et dans le même temps refuser toute idée de sentiment pour les familles normales, y compris envers les enfants.
On est contraint d’observer que ces personnes : n’ont aucune idée de la solidarité familiale où les deux parents s’épaulent mutuellement et prennent soin de leurs enfants sans limite dans le temps ; refusent aux mères le droit de choisir leur vie et la manière dont elles s’organisent avec leur conjoint ; ont un tel mépris des hommes qu’elles ne les considèrent que comme… (je n’ose me poser davantage la question) ; sont totalement incapables de concevoir ce qu’est l’engagement conjugal avec ses hauts et ses bas : les (millions de-) vieux couples apprécieront.
Le extraits qui suivent sont issus de la conférence du 17 novembre organisée dans le cadre du Festival "Mode d'emploi", dont les partenaires officiels sont... Lyon Métropole et la Région Rhône Alpes.
Anne Verjus, docteur en études politiques, membre du laboratoire Triangle CNRS-ENS Lyon :
"Une proposition que je vous soumets, ce serait de disjoindre la parentalité et la conjugalité - pourquoi ne pas proposer dès la naissance des enfants, disons juste après le sevrage, une disjonction des maisons, c'est-à-dire une résidence alternée dès la naissance. Au moins, les femmes anticiperaient une carrière maternelle comme les hommes anticiperaient une carrière paternelle [...]. Les hommes pourraient envisager des métiers où ils seraient bien obligés une semaine sur deux de s'occuper des enfants. Ce qui veut dire qu'au moment de la séparation, les choses seraient beaucoup plus simples : il n'y aurait plus de séparation puisqu'on serait déjà séparés. La deuxième piste [...] : avant que la chape de plomb du conjugalisme nous tombe sur la tête pour deux siècles, on vivait dans les familles aristocratiques de manière à séparer non seulement le parental et le conjugal mais le sentimental et le parental. C'est-à-dire pourquoi ne pas aujourd'hui penser à faire des enfants avec son meilleur ami plutôt qu'avec son amant ? On garderait comme ça peut-être un peu plus les conditions concrètes pour maintenir le désir dans le temps d'une part et puis obtenir une espèce de continuité parce que finalement l'amitié en général dure un peu plus longtemps que le désir." (La salle, éberluée, rit.)a
Le sens de la famille aux yeux des LGBT
Aux yeux d'Irène Théry, l'ouverture du mariage aux couples homosexuels aurait été l'occasion pour ses opposants " de prendre la famille homoparentale comme bouc émissaire " c'est-à-dire avec ...
http://www.lmpt-69.fr/index.php/acualites/136-le-sens-de-la-famille
Sources LMPT69
"Pour pouvoir arriver à abolir le mariage, il faut d'abord que tout le monde puisse en bénéficier. Ce que vous évoquez [nldt : l'abolition du mariage] est parfaitement envisageable. (...) C'est l'étape suivante."
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