Du mariage, de la PMA homo et de la Déclaration des droits de l'homme et du Citoyen
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Art. 1
Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits.
LES DISTINCTIONS SOCIALES NE PEUVENT ÊTRE FONDÉES QUE SUR L’UTILITE COMMUNE.
Art. 4
LA LIBERTÉ CONSISTE A POUVOIR FAIRE TOUT CE QUI NE NUIT PAS A AUTRUI : AINSI L’EXERCICE DES DROITS NATURELS DE CHAQUE HOMME N’A DE BORNES QUE CELLES QUI ASSURENT AUX AUTRES MEMBRES DE LA SOCIÉTÉ, LA JOUISSANCE DE CES MÊMES DROITS. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi.
Ainsi la liberté et le droit des couples homosexuels à vivre pleinement leur amour, leur sexualité et leur souhait d'engendrer s'arrête là ou commencent le droit et l'intérêt supérieur de.... l'enfant, à connaître son père et sa mère, et à être élevé par eux (Art. 7 de la Convention des Droits de l'Enfant signée par la France en 1990).
Or reconnaître un droit à l'homoparentalité, par l'ouverture de l'adoption, revient à instaurer un droit à l'enfant, c’est-à-dire à transformer cet enfant en objet de droit. Il s’agit là d’une démarche, contraire aux principes fondamentaux des Droits de l'Homme, donc de notre Constitution, qui institue que toute personne soit un sujet de droit en non un objet de droit.
Le raisonnement tient bien sûr dans une société ou l'altérité sexuelle a un sens, où les mots père et mère on un sens. Or la théorie du genre tend à une société libérée de la sexualité biologique. L'un ne va pas sans l'autre.
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